Près de 150 électeurs du Compiégnois ont assisté hier, jeudi, à ma dernière réunion électorale avant le 1er tour. Michel Foubert a lu un message de soutien de Philippe Marini, actuellement en Tunisie. Eric de Valroger a dénoncé les projets de la gauche de donner le droit de vote aux immigrés ou de dépénaliser le cannabis.
Quant à moi, j’ai voulu mobiliser le Compiégnois. « Ne vous laisser pas voler votre victoire, ai-je dit. Un député communiste n’apporterait rien à Compiègne. On l’a vu en 1997, quand Carvalho, une fois élu, a disparu. Il n’aime pas Compiègne. II le dit lui-même. Il méprise Compiègne, comme il méprise Noyon. Le Compiégnois, comme le Pays des Sources et le Noyonnais ont besoin d’un député fort, attentif, rassembleur. Ils n’ont rien à faire d’un protestataire pour qui l’action se résume à râler tous les matins. Ils veulent un député qui agit », ai-je conclu.